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Sonos est une entreprise américaine de technologie audio de premier plan qui est surtout connue pour ses systèmes audio multipièces sans fil, qui facilitent la diffusion de musique et d’autres contenus à la maison. L’entreprise continue d’innover en créant des haut-parleurs sans fil, des systèmes de cinéma maison, des écouteurs, des composants architecturaux et des solutions audio maison intégrées qui révolutionnent l’expérience sonore des gens et la façon dont ils s’y connectent.

Collaborateur occasionnel

En parallèle à l’annonce de son nouveau 

, Sonos élargit la réflexion sur son incidence sur l’environnement, s’engage à atteindre la neutralité carbone d’ici la fin de la décennie et prend de nouvelles mesures audacieuses pour assurer un avenir durable.

À l’heure où la crise climatique menace l’avenir de la planète, il est essentiel de réfléchir de manière holistique et critique à la façon dont ce que nous faisons touche le monde qui nous entoure : des changements politiques généraux aux actions individuelles, en passant par la réduction des déchets et la protection des écosystèmes. En commençant par le lancement de notre plan d’action climatique, nous entrons dans une nouvelle phase de notre engagement en matière de responsabilité environnementale. Nous nous appuyons entre autres sur le travail que nous effectuons depuis de nombreuses années et nous nous fixons des objectifs ambitieux pour l’avenir.

Un tel processus à long terme commence par le 

 lui-même, qui vise à réduire l’empreinte carbone de Sonos : nous nous engageons à atteindre la neutralité carbone d’ici 2030 et zéro émission nette d’ici 2040. Cette année, Sonos s’associera à l’organisation à but non lucratif Sustainable Surf afin d’investir dans des compensations de carbone pour 2021, une partie de notre financement étant utilisée pour restaurer les forêts de varechs le long de la côte californienne. Outre l’accent mis par notre 

 sur les émissions de carbone, nous annonçons également une série de mesures de durabilité à plus grande échelle : réduire considérablement la consommation d’énergie de nos produits, prolonger la durée de vie des produits en les rendant plus faciles à réparer et à recycler, passer à un emballage 100 % papier d’ici 2025, réduire l’empreinte environnementale de notre chaîne d’approvisionnement et collaborer avec des organisations de premier plan à l’échelle mondiale en matière de recherche, d’accréditation et de responsabilité.

Il s’agit d’un ensemble important d’engagements et de politiques qui reflète de nombreuses années de travail chez Sonos et qui définit ses priorités pour les décennies à venir. Mais comment en sommes-nous arrivés là? Deji Olukotun, directeur de la politique et de la responsabilité sociale de l’entreprise, souligne le lien entre le passé et le présent : « Cela fait plusieurs années que nous nous sommes engagés dans cette voie, en ne pensant pas seulement à la durabilité, mais aussi à notre chaîne d’approvisionnement, à la manière dont les personnes qui fabriquent nos produits sont traitées et à la manière dont nos installations et nos bureaux sont gérés, explique-t-il. Nous avons donc passé ces dernières années à écouter et à apprendre, à voir comment nous pouvons nous améliorer, puis à mettre en pratique toutes les réponses trouvées. La crise climatique exige des mesures concrètes. Chaque bureau où nous avons des employés a été confronté à des conditions météorologiques extrêmes au cours des deux dernières années, ce qui rend ce travail réel et urgent pour chacun d’entre nous. »

Assortiment d’emballages écologiques pour les produits Sonos

La première étape a consisté à cartographier et à divulguer notre empreinte carbone à l’échelle mondiale, ce qui a donné des résultats surprenants. « Nous avons appris que la principale source de nos émissions n’était pas notre chaîne d’approvisionnement ni nos activités de production ou de distribution. Moins d’un quart de notre empreinte globale concerne l’extraction de matériaux du sol, la fabrication de nos produits et leur acheminement vers nos détaillants, explique M. Olukotun. En fait, 75 % de nos émissions de carbone proviennent de l’énergie consommée pendant le cycle de vie de chaque produit et c’est ce facteur qui a guidé l’orientation de notre 

« D’une certaine manière, il s’agissait d’une bonne surprise, car c’est un domaine sur lequel nous avons plus de contrôle. Nous voulons aider nos clients à faire des choix responsables. Nous serons donc en mesure de leur présenter davantage d’options concernant l’utilisation de l’énergie, comme éteindre certaines parties de leur système alors que d’autres sont actives ou être plus soucieux en utilisant des assistants vocaux. » Sonos s’est également engagée à étendre le mode veille, lancé avec Roam, à tous les nouveaux produits à partir de 2023. Cet accent renouvelé sur l’efficacité permettra de réduire de 35 % l’énergie consommée par nos produits au cours de la prochaine décennie, ce qui constitue un élément clé de nos objectifs de carboneutralité et de zéro émission nette.

Une évaluation complète et la réduction de notre empreinte carbone ne sont toutefois qu’une pièce du casse-tête. « Ces mesures axées sur le climat sont extrêmement importantes, mais d’autres aspects de la durabilité comptent aussi, ajoute M. Olukotun. Par exemple, le moment où un produit arrive en fin de vie a une incidence relativement faible du point de vue des émissions de carbone, mais il pourrait avoir une grande empreinte environnementale pour ce qui est des déchets électroniques ou des matériaux qui se retrouvent dans le sol. » En 2022, Sonos ne se contentera pas de cartographier les émissions de carbone de ses produits, mais elle commencera également à évaluer ses répercussions sur l’environnement à plus grande échelle. « Une telle étude nous permettra d’obtenir un tableau très précis de l’incidence de nos produits, explique M Olukotun. Nous recueillerons de l’information précieuse qui nous aidera à prendre de bonnes décisions en matière de conception à l’avenir. »

Nous travaillerons également à des projets révolutionnaires qui utilisent le son pour soutenir les écosystèmes fragiles. « En tant qu’entreprise, nous avons beaucoup réfléchi au concept de régénération – l’idée qu’il ne faut pas se contenter de réduire son empreinte écologique, mais qu’il faut redonner plus que ce que l’on prend pour laisser la Terre en meilleur état que lorsqu’on l’a trouvée. » Cet engagement en faveur du travail régénérateur a amené Sonos à collaborer avec des organismes spécialisés dans l’utilisation du son pour améliorer l’environnement, qu’il s’agisse de se joindre à la coalition Music Declares Emergency, d’accueillir le sommet Climate Blowout Conference sur les solutions climatiques au sein de l’industrie musicale ou de financer des recherches bioacoustiques de pointe. L’un des projets à grande portée que Deji et ses collègues soutiennent déjà est celui d’une équipe de scientifiques utilisant des matrices multimicrophones et l’apprentissage automatique afin de suivre les sons des chouettes tachetées, une espèce menacée, à travers la Californie, au moment où elles reviennent dans des écosystèmes ravagés par de récents incendies. Espèce clé dont la présence indique le rétablissement de la biodiversité en aval de la chaîne alimentaire, les chouettes (et leur signature sonore) permettent aux chercheurs de mieux comprendre à quelle vitesse les différents écosystèmes se rétablissent et de décider où concentrer leurs efforts.

Une personne portant un Sonos Roam blanc attaché à son sac à dos lors d’une randonnée

Toutes ces idées sont formidables, mais nous savons que les belles paroles ne valent pas grand-chose : ce qui compte vraiment, c’est de mettre en œuvre ces nobles principes et ces idées ambitieuses. Il existe deux voies claires pour s’assurer que Sonos respecte les normes définies dans son 

. Tout d’abord, l’entreprise se fixe des objectifs clairs afin que toutes ses parties prenantes aient une idée concrète des progrès accomplis : « La principale différence entre une entreprise qui dit qu’elle va faire quelque chose et une autre qui le fait réellement, c’est l’utilisation d’objectifs de performance, explique Deji Olukotun. Ces cinq dernières années, nous en avons défini quelques-uns en rapport avec nos emballages, notre efficacité énergétique et l’évaluation de notre chaîne d’approvisionnement. Et, maintenant, nous y ajoutons ces nouveaux objectifs climatiques. » Mais cela ne va pas sans difficulté. « L’une des choses intéressantes avec ces objectifs est qu’il faut aussi dire quand on ne les a pas atteints. Je pense que, pour beaucoup d’entreprises, c’est plutôt difficile, d’être transparent quant aux cibles qui n’ont pas été atteintes. Annoncer ces objectifs publiquement, comme nous l’avons fait, et en rendre compte, comme nous allons le faire, est une part importante de cette responsabilité. »

La deuxième façon de rendre les progrès de Sonos transparents – et d’en assumer la responsabilité – est de s’associer à des organismes extérieurs qui maintiennent des normes applicables à l’ensemble du secteur en matière de carbone, de durabilité et d’éthique. D’ici la fin de 2021, Sonos sera un membre à part entière de la Responsible Business Alliance, un organisme qui contribuera à l’évaluation de sa chaîne d’approvisionnement et à garantir que l’entreprise adhère aux pratiques exemplaires, et du Forest Stewardship Council, qui certifie l’utilisation de produits durables à base de papier. Dans les deux cas, ces organismes de référence s’assureront que Sonos vit à la hauteur de ses aspirations.

Dans l’ensemble de ce travail, la philosophie sous-jacente peut se résumer en deux mots : Écouter mieux. Créée à l’origine comme titre de projet pour le travail de Deji et de ses collègues en matière d’impact social, cette phrase a depuis été adoptée comme mantra par l’ensemble de Sonos, incarnant non seulement son engagement en faveur d’un son de haute qualité, mais garantissant aussi une contribution à rendre le monde meilleur.

« Il s’agit d’une occasion d’agir en équipe, particulièrement en ce qui concerne le changement climatique, mais aussi en matière de durabilité à grande échelle, dans la mesure où plus le nombre d’entreprises qui s’impliquent est important, plus le travail devient facile. Chez Sonos, nous reconnaissons avec fierté que les gens se soucient vraiment de l’environnement, qu’un grand changement culturel s’est effectué et que nous sommes tous mobilisés dans cette initiative à long terme. »

Un Sonos Move noir sur un banc à côté d’une tasse et d’une veste, dans une forêt.

Renforcer notre mobilisation en faveur du développement durable

Écrivain invité

Pour célébrer notre partenariat avec le designer mobilier novateur Floyd, nous partageons avec vous une récente entrevue réalisée avec l’artiste et créateur Hassan Rahim. Découvrez ce qui l’a inspiré à choisir le design comme carrière, comment la musique inspire son travail ainsi que ses conseils aux artistes émergents et aux jeunes designers.

Dans l’appartement de Hassan Rahim, à Brooklyn, vous trouverez un espace zen rempli de collections et de pièces uniques qui stimulent le travail, l’inspiration et la détente. L’artiste canalise dans ses œuvres les intérêts distinctifs, forts, contextuels de son enfance, et qui reflètent sa propre nature. Rahim nous a parlé de son parcours personnel dans le milieu du design, de ses inspirations et de son travail dans l’industrie de la musique.

Eh bien, je m’appelle Hassan Rahim. Je suis avant tout un artiste, mais je n’aime pas m’en tenir à un seul titre. Je suis parfois à la fois artiste et graphiste, ou directeur artistique et designer. J’ai grandi à Santa Ana et j’ai vécu à Los Angeles en Californie. Il y a six ans, j’ai déménagé à Brooklyn, à New York. J’aime axer mon travail sur la polyvalence. Je gravite vers les projets fondés sur des concepts et des idées issus de divers médias, comme la réalisation de vidéos, la conception de logos, ainsi que mon travail personnel de gravure et de collage. J’ai un style plutôt libre, un état d’esprit que j’ai depuis l’âge de 15 ans, quand j’ai téléchargé Photoshop pour la première fois.

Vous êtes autodidacte. Pouvez-vous décrire votre parcours dans le milieu du design en tant qu’autodidacte?

Mon parcours de designer a commencé avec la planche à roulettes. J’étais un planchiste, mais j’étais vraiment obsédé par les graphiques, l’art, la publicité et les magazines de planche à roulettes. C’est ce qui a attiré mon attention, et c’est ce que je voulais faire. J’avais envie de créer des autocollants et des chandails, et j’étais curieux de savoir comment les fabriquer. Je me demandais souvent : « Oh, mais comment ont-ils fait ça? », puis j’essayais de recréer certains éléments que j’avais observés. À partir de là, j’ai découvert différentes techniques, puis j’ai mis au point des outils qui me permettaient d’utiliser ma propre imagination.

Vous avez commencé avec les t-shirts. Dites-nous en plus à ce sujet.

J’ai publié quelques-uns de mes t-shirts sur MySpace quand j’avais 15 ans. Après quelque temps, des gens ont découvert mon travail et m’ont demandé de créer des chandails pour leur marque. Puis, grâce à la planche à roulettes, j’ai rencontré des gens qui travaillaient pour des marques comme Obey et Diamond Supply Co., et ils m’ont demandé de créer des chandails pour eux aussi.

Vous faites beaucoup de collages dans votre travail. Qu’est-ce qui vous a poussé à utiliser cette méthode?

C’était la façon dont mon esprit assemblait les pièces. En tant qu’artiste, je suis composé d’une myriade de petits morceaux d’inspiration, provenant de tous les horizons. Une série de petits extraits, de citations mémorables et de choses que les gens m’ont dites… Toutes ces choses se combinent pour créer, eh bien, moi. Les méthodes qu’emploient des artistes comme Madlib ou J Dilla pour créer des rythmes m’ont également beaucoup inspiré; j’y vois un agencement d’échantillons, de coupes, de collages et d’assemblages. J’ai été profondément inspiré en observant ces artistes créer leurs rythmes, et j’ai vu que mon travail avait cette impression visuelle, que mon esprit assemblait les morceaux d’une façon similaire.

« J’ai été profondément inspiré en observant ces artistes créer leurs rythmes, et j’ai vu que mon travail avait cette impression visuelle, que mon esprit assemblait les morceaux d’une façon similaire. »

Lorsque vous pensez à décomposer ces aspects de la musique, et à les transcrire sous une autre forme artistique, si l’on peut ainsi s’exprimer, utilisez-vous souvent la musique pour inspirer votre travail?

Mon processus a évolué au fil du temps. J’avais l’habitude d’écouter beaucoup de musique, mais maintenant j’essaie généralement de me mettre dans un état méditatif interne. À une époque, je pouvais travailler jusqu’à 4 heures du matin avec de la musique électronique très énergique. Au fur et à mesure que j’ai évolué dans mon travail, mon processus a changé. Maintenant, je me sens zen juste en fixant l’écran et en faisant mon travail. C’est un autre type de concentration.

J’écoute aussi la station Slow Focus sur NTS Radio. Je décrirais le style comme de la musique zen ambiante. Alors je me réveille en l’écoutant. C’est mon alarme, en fait.

On peut donc dire que la musique a fortement inspiré votre travail.

Comment décririez-vous votre espace de travail?

Je travaille à domicile depuis un certain temps, même avant la pandémie. Auparavant, j’avais un studio, mais je me suis rendu compte que mon travail est très personnel. Mes créations viennent d’un endroit profondément personnel, alors je puise mon inspiration dans mon chez-moi, avec mes livres, mes disques et tout le reste. C’est un petit appartement à New York, donc il n’y a pas beaucoup d’espace. Mon bureau est au milieu de la pièce. Mais c’est vraiment agréable de travailler à la maison.

Vous avez une importante collection de livres et de disques. Comment ces collections sont-elles entrées dans votre vie?

Les collections se créent au fur et à mesure. Très lentement. J’accumule chaque pièce au fur et à mesure. Il y a des choses qui me passionnent vraiment, puis d’autres qui ne m’intéressent plus, alors je fais le ménage et je réorganise. En ce qui concerne les disques, j’ai plusieurs collections différentes. J’en ai certains qui sont des disques que j’aime écouter, d’autres sont juste rares, et d’autres encore sont juste pour l’inspiration visuelle. Je fréquente les magasins d’occasion pour trouver des disques intéressants. Je le faisais déjà quand j’étais plus jeune. C’est ce qui m’a poussé à m’intéresser au design. J’ai vu des disques superbes des années 70 avec des pochettes folles, et c’était toujours conceptuel. Le genre d’art qui fait réfléchir. J’achète encore des disques dans les bacs à un dollar, des fois juste pour leur pochette, car je veux que ma collection de disques ressemble à ma collection de livres.

« J’en ai certains qui sont des disques que j’aime écouter, d’autres sont juste rares, et d’autres encore sont juste pour l’inspiration visuelle. Je fréquente les magasins d’occasion pour trouver des disques intéressants. »

Comment les endroits où vous avez vécu et les espaces dans lesquels vous vous trouvez façonnent-ils votre travail?

Mon travail a été façonné par le temps que j’ai passé à Orange County, tout simplement parce que c’est à cette époque que j’ai développé mon intérêt pour le design. Je cherchais des sources d’inspiration, et au fil de mes recherches, j’ai trouvé des perles en ligne; c’est sur la Toile que j’ai trouvé les éléments les plus fascinants.

Tous mes amis faisaient de la planche à roulettes, et ils s’intéressaient aux planchistes pour leurs prouesses. Moi, les planchistes que j’aimais étaient ceux qui avaient du style, un genre. Je voulais savoir ce qu’ils portaient, et je faisais mes recherches.

Qu’est-ce qui maintient votre intérêt pour le travail que vous faites?

Les styles et la variété. Relever de nouveaux défis et vivre de nouvelles expériences. Ne pas rester dans un moule fixe comme designer, ou dire que je suis juste un artiste. Je réalise des films, je produis des livres, je suis consultant et je fais des expositions. Je prends plaisir à ce que je fais, je m’assure d’essayer de nouvelles choses et je ne m’inquiète pas de devoir colorer entre les lignes. C’est ce qui est le plus excitant pour moi.

Vous avez aussi créé des œuvres pour l’industrie de la musique. Qu’avez-vous appris en travaillant avec des musiciens et les gens qui travaillent dans l’industrie de la musique?

Je pense que le monde de la musique est fascinant. On crée une petite œuvre d’art d’un format bien défini. Je crois qu’il faut d’abord miser sur l’émotion quand on travaille avec la musique. Je repense à l’époque où j’avais 15 ans, où j’ouvrais mes premiers CD. Les chansons que je découvrais étaient vraiment spéciales pour moi, et j’essaie de recréer ce sentiment. Je veux procurer une expérience similaire aux jeunes d’aujourd’hui. Et je crois que cette approche m’a poussé à grandir en matière d’iconographie. Je pense que l’iconographie est un facteur important dans la musique, du moins pour l’emballage.

Outre l’iconographie, les t-shirts sont un autre moyen de faire vivre la musique. C’est pourquoi le marché secondaire des t-shirts graphiques classiques est si important; les t-shirts de groupes sont rares et ils peuvent aussi être très chers.

« Je crois qu’il faut d’abord miser sur l’émotion quand on travaille avec la musique. Je repense à l’époque où j’avais 15 ans, où j’ouvrais mes premiers CD. Les chansons que je découvrais étaient vraiment spéciales pour moi, et j’essaie de recréer ce sentiment. »

Avez-vous des conseils à donner aux artistes émergents ou aux jeunes designers qui se lancent dans ce domaine?

C’est un peu cliché, mais je leur dirais : soyez vous-même, ne tentez pas d’imiter les designers que vous trouvez cool. Soyez vous-même, et cela vous distinguera des autres. Bien sûr, il n’y a rien de mal à travailler à définir sa personnalité en tant qu’artiste. C’est tout à fait valable, en fait, mais je pense que c’est en étant vous-même que vous vous distinguerez, malgré ce que vous pourriez penser.

Pour lire d’autres articles axés sur le design et en savoir plus sur le nouveau pied pour haut-parleurs Sonos de Floyd, visitez le site 

À la maison avec Hassan Rahim

Responsable international de la rédaction

Les utilisateurs Sonos forment un groupe de gens fidèles et passionnés. Ce sont d’ailleurs eux qui ont inspiré la création de la plus récente campagne publicitaire de notre marque, Ressentez davantage. Nous sommes toujours heureux de constater les façons uniques et spéciales dont Sonos fait partie de vos vies. Dans cette publication, nous partageons la vidéo de la campagne ainsi que quelques histoires qui nous inspirent au quotidien.

Mon travail consiste à décrire l’expérience Sonos et à en faire l’éloge, et les mots me manquent toujours. Toujours. Avant d’expliquer pourquoi, je dois dire quelque chose qui peut sembler audacieux à quiconque n’a pas fait l’expérience de Sonos : Avoir Sonos à la maison, c’est bien plus que posséder des haut-parleurs.

Pour décrire véritablement ce que cela signifie d’avoir un produit Sonos, je dois communiquer tellement plus que les caractéristiques de nos produits. Oui, nos haut-parleurs sont faciles à configurer et à utiliser. Oui, nos haut-parleurs produisent un son incroyable. Oui, nos haut-parleurs sont magnifiquement conçus. Mais il s’agit là des pièces d’un casse-tête, pêle-mêle, réparties sur la table de la salle à manger. Il est impossible d’apprécier pleinement la raison pour laquelle les gens aiment Sonos tant que vous n’avez pas assemblé toutes ces pièces et pris un peu de recul pour bien assimiler le tout. C’est à ce moment que le déclic se produit. Vous prenez alors conscience que Sonos ne se limite pas à l’écoute, tout est dans ce que vous ressentez.

Le moment où les gens ont cette révélation et souhaitent partager leur histoire concernant Sonos avec nous est l’un des plaisirs de travailler à Sonos. L’étincelle dans leurs yeux quand je leur dis où je travaille me touche chaque fois. Puis ils enchaînent, m’expliquant avec enthousiasme la première fois où ils ont écouté de la musique provenant d’une paire de Five en stéréo. Ou à quel point le son de leur film préféré est incroyable avec Arc. Après quatre ans chez Sonos, ma tâche est toujours la même, partager mes propres histoires Sonos avec autant d’enthousiasme.

À bien y réfléchir, je crois que l’une des raisons pour laquelle ces rencontres se produisent c’est parce qu’il est agréable de discuter de Sonos avec quelqu’un qui « comprend ». Parce que, comme moi, nos utilisateurs ont probablement tenté d’expliquer pourquoi ils aiment Sonos à leurs amis qui ne possèdent pas de produits Sonos et ont eu l’impression de ne pas pouvoir rendre justice à l’expérience. C’est pourquoi il est étonnamment satisfaisant d’avoir l’occasion d’en discuter avec quelqu’un qui comprend.

C’est dans cette optique que nous avons décidé de laisser la parole à ceux et celles qui aiment Sonos et qui savent le mieux ce que signifie en posséder un. Nous avons inclus un petit échantillon de leurs histoires ci-dessous. Certaines ont été publiées sur les médias sociaux, d’autres ont été envoyées par courriel à notre PDG, Patrick Spence, et d’autres encore ont été partagées directement avec ceux et celles d’entre nous qui travaillent ici. Elles ont cependant toutes une chose en commun : Elles vont toutes à l’essentiel de ce que signifie l’expérience Sonos. C’est un suspense palpitant et une envie irrépressible de danser. C’est le confort d’un album classique et l’admiration inspirée par de nouveaux mondes. Ce sont des aliments qui ont meilleur goût, des proches qui se rapprochent et un quotidien moins routinier parce que vous ressentez davantage.

« La fin de semaine dernière, ma femme et moi nous sommes mariés en secret à Santa Cruz avec l’océan comme toile de fond. Comme nous étions sur une falaise et que les vents étaient importants, nous ne savions pas trop comment procéder pour la musique. J’ai donc décidé d’apporter mon Move pour l’essayer. Nous étions stupéfaits. Même à volume réduit, nous pouvions entendre clairement la musique pendant toute la durée de la marche nuptiale improvisée.

Plus tard ce soir-là, nous sommes retournés à la maison que nous avions louée et dont nous avions décoré le petit toit pour le souper et les toasts. Le toit était muni de haut-parleurs extérieurs intégrés. Toutefois, à notre arrivée, nous avons constaté qu’ils ne fonctionnaient plus. Heureusement, Move a de nouveau sauvé la mise en nous permettant d’avoir de la musique de grande qualité pour le souper et les danses. J’adore Sonos depuis des années et chaque nouveau produit que j’achète semble surpasser celui d’avant, mais je crois que cette expérience a renforcé mon amour pour Move. Merci encore pour tout ce que votre Société fait, et continuez votre excellent travail. »

« Nous avons apporté notre Sonos Move dans la salle d’accouchement cette semaine, et notre liste de lecture a été une partie tellement importante de la naissance de notre premier enfant. »

« Nous avons apporté notre Sonos Move dans la salle d’accouchement cette semaine, et notre liste de lecture a été une partie tellement importante de la naissance de notre premier enfant. Je suis tellement heureux que nous l’ayons fait. Nous voulions tout simplement vous remercier de fabriquer des produits qui changent tout! »

« Comme je travaille de la maison en raison de la COVID, j’en ai profité pour habiter chez mes parents pendant plusieurs semaines en novembre et en décembre. Pendant cette période, j’ai remarqué que le son de leur télé était horrible et que cela devait être difficile pour mon père qui porte des prothèses auditives. Je suis cliente de Sonos depuis des années et j’ai donc suggéré de leur offrir un système pour Noël. Après avoir acheté une barre de son, un Sub et plusieurs One chez Best Buy, nous avons installé le tout en quelques minutes. Mes parents ont été enchantés par la facilité d’utilisation et la qualité sonore. Plus tard ce jour-là, mon père et moi écoutions de la musique assis sur la terrasse. Il m’a alors confié : « Je n’en reviens pas qu’un aussi petit haut-parleur puisse produire un aussi bon son. Ça faisait longtemps que je n’avais pas entendu et compris les paroles des chansons. » J’avais les larmes aux yeux. Cet aveu en soi a fait de ce cadeau de Noël le plus beau que j’ai offert. Merci d’avoir offert la musique en cadeau à mon père! »

C’est maintenant votre tour. Que vous fait ressentir Sonos? Quelle est sa place dans votre vie? Quels sont quelques-uns de vos moments préférés avec nos produits, quels qu’ils soient? Nous adorons avoir de vos nouvelles. Il suffit d’identifier @sonos ou de nous envoyer un message direct. #Ressentezdavantage

Ressentez davantage avec Sonos

Dans le nouvel épisode de The Lighthouse, Brian Eno discute de la pratique de son art visuel avec le conservateur et historien Hans-Ulrich Obrist. Dans ce blogue, suivez ce duo alors qu’il plonge dans le monde des explorations visuelles audacieuses d’Eno.

Brian Eno redéfinit les règles depuis les cinquante dernières années. Musicien, compositeur, producteur et artiste visuel, il n’a jamais cessé d’innover. The Lighthouse, sa collaboration avec 

, se fait l’écho de plusieurs des concepts qui ont défini son travail en tant que musicien, producteur et artiste visuel, de l’expérimentation célébrant l’ouverture d’esprit et des chevauchements sensoriels du son et de la vision à l’utilisation de la technologie pour explorer de nouvelles formes de créativité. Mais la collaboration est également un audacieux pas en avant, faisant appel à un trésor d’œuvres inédites et de productions aléatoires pour construire de nouveaux mondes sonores.

Dans le cadre d’un programme exclusif à Sonos Radio, Eno nous guide dans l’inspiration derrière The Lighthouse. En entrevue avec le conservateur et critique Hans-Ulrich Obrist, la discussion porte autant sur les magnétophones des rêves d’enfance qu’à la musique dans le cadre d’un processus infini. Pour entendre l’intégralité de leur conversation, cliquez 

« Contrairement à beaucoup de gens qui ont délaissé l’école des beaux-arts au profit de la musique, j’ai poursuivi la pratique de l’art visuel. Et j’ai remarqué que les deux domaines à première vue différents avaient plusieurs points en commun. À un moment donné, j’ai compris que je voulais faire de la musique un peu comme on peint une toile et peindre des toiles un peu comme on compose de la musique. Je crois en fait que c’est une question de compréhension du temps. Que se passe-t-il si vous avez une photo qui change très lentement? L’approche est différente lorsqu’il y a un changement. Cela demande un examen plus approfondi. C’est à ce moment que j’ai commencé à jouer avec la lumière. »

« J’aime notamment utiliser la technologie qui existe à des fins autres que celles pour lesquelles elle est destinée. »

« Je me rappelle très bien la première fois où j’ai vu un magnétophone. Je trouvais incroyable de pouvoir stocker la musique ainsi. Et, bien sûr, je me suis ensuite demandé : Que se passerait-il si on le faisait jouer à l’envers? »

« À la fin des années 70, j’ai commencé à travailler avec la vidéo en laissant tout simplement l’événement se dérouler devant la caméra. À cette époque, je vivais sur la 8e rue Ouest et mon appartement donnait sur le sud. J’ai donc pris la caméra et je l’ai déposée sur le côté, pointant vers le centre-ville. Puis je me suis dit que j’allais simplement tourner la télé. Et, soudainement, je ne regardais plus un téléviseur, mais bien une photo. »

« Avec toutes mes installations, l’un de mes grands défis était de trouver comment inciter les gens à rester plus longtemps. Je ne voulais pas qu’ils jettent un regard rapide puis qu’ils passent à la photo suivante. Et, bien sûr, cela était lié à la musique. La musique indique que quelque chose change. Elle ralentit un peu les gens, ce qui, selon moi, est utile. Lorsque vous entrez dans une église avec de magnifiques fenêtres par lesquelles passe le soleil... peut-être qu’il s’agit là de vitraux contemporains, non religieux. »

« Il est devenu évident pour moi que l’art sous sa forme statique, fixe et finie était un concept qui ne m’inspirait plus. La musique classique s’apparente à l’architecture. Elle donne un aperçu de l’objectif et du résultat final, alors que la musique composée par [Steve] Reich, [Terry] Riley et d’autres ressemblait davantage à du jardinage. C’était un peu comme dire : Voici quelques graines. Je vais les semer et je verrai ce qui passe. » J’ai commencé à penser que j’étais un jardinier plutôt qu’un architecte, et c’est toujours ce que je crois. »

« Dessiner est important parce que c’est la façon la plus rapide pour moi de découvrir certaines choses. En fait, bon nombre de mes œuvres commencent par un dessin, même la musique. »

« Je conçois les choses comme des formes et des systèmes en tenant compte de la façon dont ces systèmes s’entremêlent. Si je fais un dessin, est-il intéressant? Ressemble-t-il à quelque chose que je voudrais écouter? En un sens, la musique moderne ressemble davantage à la peinture que la musique traditionnelle. »

« Je ne finis jamais vraiment les choses que lorsque j’ai une idée de leur rôle dans le monde. Alors, qu’est-ce que ce sera? À quoi cela ressemblera-t-il? Si je fais cela, qu’arrivera-t-il? Mes archives d’œuvres musicales inédites comptent 7 502 morceaux. Aucun n’est terminé. Toutefois, lorsque je dois créer quelque chose de précis, je commence habituellement par en choisir un parmi eux; un que je crois pouvoir transformer pour obtenir le résultat final que je souhaite. »

« Comme je ne médite pas, je ne sais pas s’il s’agit du même processus, mais j’aime bien laisser errer mon esprit, notamment en oubliant le monde qui m’entoure. Je ne veux pas me trouver dans ce monde en constante activité, dans les affaires des autres. Je cherche des occasions de voir à nouveau la vie à travers les yeux d’un enfant. On ne devient pas pour autant plus stupide, moins adulte, ni quoi que ce soit du genre. Mais je crois qu’on devient moins préoccupé et plus ouvert aux sensations, aux pensées profondes, aux choses qu’on sait présentes, mais auxquelles on ne prête pas assez souvent attention. »

The Lighthouse représente l’exploration continue de Brian Eno de cet espace enfantin et méditatif, un paysage sonore unique qui repose sur l’expérimentation sans relâche à la base de son art et la paix en chacun de nous qui n’attend que d’être redécouverte.

 et explorez aujourd’hui The Lighthouse.

Brian Eno nous parle du jeu avec la lumière

C’est intentionnellement que tous nos produits sont conçus pour être faciles à configurer, à contrôler et à apprécier. En outre, l’expérience Sonos peut être aussi riche et diversifiée que vous le souhaitez. Afin de vous permettre de tirer le meilleur parti de vos produits Sonos, nous vous présentons la série « Guide essentiel ».

 en 2018, nous avons intégré une puissance incroyable, une clarté des dialogues et le contrôle vocal dans une barre de son étonnamment compacte. Avec la nouvelle génération, nous avons ajouté deux réseaux de haut-parleurs supplémentaires, une grille perforée avec précision, une puce plus rapide et plus intelligente ainsi qu’une connexion HDMI eARC pour la prise en charge de formats de plus haute résolution, notamment Dolby Atmos.

Que vous ayez récemment acquis un produit Sonos ou que vous en possédiez un depuis longtemps, la série « Guide essentiel » est pour vous. Si 

 est votre premier haut-parleur Sonos, mieux vaut commencer par le commencement. Nous vous guiderons à travers toutes les étapes de l’aventure Sonos, de la configuration du produit à certaines fonctionnalités parmi les plus avancées possibles lorsque vous le regroupez avec d’autres haut-parleurs Sonos. Si, toutefois, vous n’en êtes pas à vos premières armes, n’hésitez pas à explorer. Avec un peu de chance, vous apprendrez quelque chose ou redécouvrirez des fonctionnalités que vous n’aviez pas utilisées depuis un bon moment.

Une fois Beam déballée, vous devrez d’abord 

, en commençant par la placer sur un meuble sous votre téléviseur ou en la fixant au mur avec 

Beam est accompagnée de deux cordons : un pour l’alimentation et l’autre pour brancher la barre de son à votre téléviseur. (Si votre téléviseur n’est pas muni d’un port ARC ou eARC, utilisez l’adaptateur optique fourni.) Commencez par télécharger l’application Sonos sur votre téléphone intelligent ou votre tablette et suivez les étapes décrites.

La connexion au Wi-Fi est aussi simple que de placer votre appareil mobile sur l’étiquette de communication en champ proche (CCP) sur le dessus de votre barre de son. L’application Sonos vous guidera ensuite dans la synchronisation de Beam avec la télécommande de votre téléviseur et dans l’ajout d’un service de diffusion en continu ou d’un assistant vocal.

Femme assise devant un téléviseur avec une Beam blanche

Beam (2e gén) est le premier produit de cinéma maison Sonos à être lancé dans notre nouvel emballage durable, comprenant une boîte plus compacte conçue pour simplifier les expéditions, un papier kraft non couché de qualité supérieure dont les illustrations réduisent l’utilisation d’encres et une boîte-cadeau faite de papier provenant de sources durables. De plus, nous avons cessé l’utilisation de la mousse EPE. Pour en savoir plus sur nos efforts en matière d’emballage durable, consultez 

L’application Sonos, c’est comme avoir un panneau de commande pour votre haut-parleur (et votre système entier) dans la paume de votre main. Dès que vous connaîtrez quelques icônes simples, vous serez en mesure de naviguer facilement dans l’application. Vous trouverez un tutoriel complet consacré à l’utilisation de l’application 

Vous trouverez ci-dessous quelques fonctionnalités populaires qui vous aideront à trouver rapidement vos favoris ou à faire des découvertes.

 – Lorsque la télé est allumée, appuyez sur l’icône représentant une bulle de dialogue sur l’écran En cours de lecture pour amplifier les voix afin de ne jamais perdre un mot pour bien suivre l’histoire.

 – Appuyez sur l’icône représentant une lune sur l’écran En cours de lecture pour réduire l’intensité des effets forts et renforcer les effets plus faibles.

 – Même avec des millions de chansons, d’albums, de livres et de balados à portée de main, il n’est pas rare de retourner encore et encore vers ses favoris. Sauvegardez-les dans 

 au fur et à mesure de votre exploration, puis appuyez ensuite simplement sur l’icône d’étoile dans la barre d’outils au bas de votre écran pour accéder rapidement à tout le contenu que vous aimez.

 – Appuyez sur l’icône de loupe située dans la barre d’outils pour effectuer une recherche par artiste, chanson, album, liste de lecture, station, genre, et plus encore.

 – Lorsque vous hésitez et ne savez pas quoi écouter, appuyez sur l’icône de note de musique au bas de l’écran et laissez 

 ou votre service de musique préféré vous guider sur la voie de la découverte musicale.

Dolby Atmos est une technologie sonore immersive qui vous place au centre de l’action. Vous avez ainsi l’impression que les avions passent au-dessus de votre tête, vous entendez les bruits de pas qui traversent la pièce et vous percevez la musique tout autour de vous.

Afin de profiter de Dolby Atmos sur Beam, votretéléviseur doit prendre en charge les contenus Dolby Atmos et Atmos codés. Pour vous assurer de profiter d’un son Dolby Atmos, consultez 

Le système Sonos a été conçu avec la flexibilité de s’adapter à votre écoute. Bien que les téléphones soient omniprésents dans nos vies, il est parfois agréable d’oublier leur présence. Cela ne signifie pas pour autant que la musique doit cesser.

Tous nos haut-parleurs sont munis de commandes tactiles ou de boutons qui vous permettent de gérer votre expérience sans l’application.

Appuyez une fois sur le bouton Lecture/Pause pour lire le contenu ou le mettre sur pause.

Appuyez sur le bouton Lecture/Pause et maintenez-le enfoncé pour faire jouer sur Beam le contenu de votre dernier haut-parleur actif.

Appuyez sur le bouton à gauche du bouton Lecture/Pause pour baisser le volume.

Appuyez sur le bouton à droite du bouton Lecture/Pause pour monter le volume.

Faites glisser votre doigt vers la droite sur les commandes tactiles pour avancer à la chanson suivante.

Faites glisser votre doigt vers la gauche sur les commandes tactiles pour lire la piste précédente.

 Vous pouvez également désactiver les commandes tactiles dans l’application Sonos. Dans le menu 

 dans la liste des produits, puis désactivez 

Quelques options s’offrent à vous si vous souhaitez diffuser vers Sonos sans quitter votre application préférée.

Spotify, Audible, Amazon Music et d’autres services vous permettront de 

contrôler Sonos directement par l’entremise de leur application

. Recherchez simplement le bouton qui vous permet de diffuser sur un haut-parleur externe.

De plus, si vous possédez un appareil iOS, notamment un iPhone, un iPad ou un Mac, vous pouvez diffuser haut et fort le son de vos applications préférées sur Sonos 

Pour régler une minuterie, démarrer la diffusion en continu d’un épisode de la nouvelle série dont vous ne pouvez plus vous passer ou pour connaître le nombre de tasses dans un litre, il suffit de demander à votre assistant 

. Beam fonctionne avec Amazon Alexa et l’Assistant Google. Le voyant situé sur le dessus de Beam indique que les microphones sont activés et que votre assistant vocal est prêt à répondre. Le voyant est également branché, donc, s’il est éteint, c’est que le microphone aussi est éteint.

En matière de son, l’environnement d’écoute joue un rôle prépondérant. Si vous êtes dans une pièce confortable avec un épais tapis et des tonnes de coussins, le son sera très différent que si vous vous trouvez dans un grand espace où se trouvent des matériaux plus durs. Avec un appareil iOS, notre technologie de réglage 

 mesurera l’effet de la taille de votre pièce, de votre mobilier et des autres surfaces sur l’emplacement de Beam, puis réglera avec précision la barre de son afin qu’elle sonne comme il se doit.

Vous serez invité à régler votre haut-parleur avec Trueplay pendant la configuration. Si vous choisissez d’attendre, vous pourrez toujours y retourner plus tard dans le menu 

 dans la liste des produits, puis appuyez sur 

Un couple regarde la télévision avec un système de cinéma maison Sonos

Avec Beam, le son de vos émissions, de vos films et de vos jeux sera plus complet, les dialogues seront plus cristallins et les basses seront plus profondes. Si vous souhaitez faire évoluer davantage votre installation de cinéma maison,deux options s’offrent à vous.

 à votre installation de cinéma maison vous permettra de ressentir les basses. Il déleste Beam des fréquences plus basses afin de vous permettre de faire l’expérience de fréquences médianes et hautes plus riches.

Connecter deux haut-parleurs arrière pour créer un son ambiophonique.

 Lorsque vous ajoutez deux haut-parleurs de même modèle (Sonos 

) à votre installation de cinéma maison, vous permettez au son de se propager dans toute son ampleur. Les effets d’ambiance comme les bruits de pas, les chuchotements et les éléments musicaux vous plongeront entièrement dans le monde à l’écran.

Apprenez-en plus sur la création d’une installation de cinéma maison sans pareil 

est une pionnière de l’écoute multipièce

 dont la vision est simple : aider les amoureux de musique à écouter de la musique partout dans la maison.

Notre façon de vivre à la maison est en constante évolution. Parfois, nous nous déplaçons continuellement dans la maison, passant d’une pièce à l’autre en croisant le chemin de ceux et celles avec qui nous la partageons. Dans de tels moments, le son est une expérience partagée. Mais il y a aussi des moments où nous nous réfugions dans des espaces distincts de la maison, sans bouger, pour y vivre des expériences individuelles. Avec des haut-parleurs multiples, le système Sonos s’ajuste à nos façons uniques de vivre. Si vous souhaitez explorer les façons de faire évoluer votre expérience d’écoute, visitez sonos.com pour obtenir de plus amples renseignements sur les installations de cinéma maison, les haut-parleurs architecturaux, et plus encore.

Avec l’accès à un flot inépuisable de films, d’émissions et de jeux dans nos maisons, nos salons sont devenus l’épicentre de la culture actuelle. Et de plus en plus, notre façon de regarder est devenue tout aussi importante que ce que nous regardons. Des affrontements épiques aux moments calmes et dramatiques, le son joue un rôle essentiel pour nous plonger dans le monde de nos histoires préférées. En vous familiarisant avec les fonctionnalités de Beam, vous serez en mesure de profiter de votre expérience de divertissement à la maison comme il se doit. Que le spectacle commence.

Le guide essentiel pour Beam

Oyez, oyez! Nous voulons que votre fête d’avant-partie soit aussi réussie que l’évènement principal, c’est pourquoi nous vous présentons cinq conseils pour organiser un évènement réussi, y compris les conseils de l’extraordinaire Jimmy Ho, spécialiste des grillades et du fumage, sur la façon de rehausser votre cuisine en plein air. À vos marques, prêts...

Que vous aimiez ou non les sports, ou qu’ils vous laissent indifférent, il y a un aspect que nous pouvons tous apprécier : l’avant-match en compagnie de ses proches. Si un match est généralement une bonne raison (ou une excuse) pour se réunir, un avant-match combine tous les éléments d’une fête réussie : nourriture, boissons, jeux, plein air et cause commune. Une recette gagnante, quoi! N’oubliez pas d’apporter votre 

 pour stimuler les oreilles de vos invités avant le début du match.

Alors que l’air se rafraîchit et que nous commençons à syntoniser notre chaîne de sports préférée, nous tenons à partager avec vous quelques-uns de nos secrets pour une fête d’avant-partie réussie. Et, n’oubliez pas, même si vous prévoyez d’écouter le match avec le nouveau 

 dans votre salon, rien ne vous empêche d’organiser une fête d’avant-partie dans votre cour ou sur la terrasse. En fait, nous vous encourageons à le faire.

Imaginez que vous vous rendiez sur le terrain ou sur la glace sans avoir de plan de match en tête. Ça risque de ne pas trop bien se passer. « Je sais que c’est une notion un peu "adulte", mais vous devez faire un plan », partage avec nous Jimmy Ho, maître des grillades et du fumage, d’Austin au Texas. « Dressez une liste. Et la raison pour laquelle vous voulez une liste, c’est parce qu’il vaut toujours mieux être trop préparé que pas assez. » Et il sait de quoi il parle. En parcourant 

, on constate que Jimmy Ho planifie tous les détails de ses festins en plein air, dignes d’être photographiés.

Faites un plan de match.

Jimmy Ho suggère quelques autres éléments à prendre en considération dans votre planification : « Assurez-vous d’avoir suffisamment de combustible pour votre gril, que ce soit du charbon, du bois ou des briquettes. Vous ne voulez pas être à court de flammes en plein milieu de la cuisson et devoir ensuite quitter votre poste pour allez en chercher. »

Lorsque vous planifiez vos repas, tenez compte du temps de cuisson des aliments et de l’équilibre entre les aliments qui demandent beaucoup d’attention (qui doivent être conservés au frais ou au chaud) et ceux qui en demandent peu (qui se conservent bien à température ambiante). « Et apportez-en toujours un peu plus que prévu », ajout Jimmy Ho. « Lorsque vous cuisinez des mets qui prennent beaucoup de temps à cuire, comme une poitrine de bœuf, ayez toujours un plan B au cas où vous en manqueriez. Si vous n’avez plus de poitrine, vous n’aurez pas le temps d’en cuire une autre. Apportez donc des viandes plus faciles à cuire, comme des saucisses. »

Conseil en prime : Si vous n’avez pas suivi le cours de base sur la préparation des glacières, voici un petit résumé : Les boissons au fond, puis une couche de glace, et les aliments sur le dessus. Laissez le moins d’air possible dans le haut de la glacière. Et, pour refroidir rapidement les boissons, voici les trois ingrédients magiques : glace, eau et sel. Brassez, attendez un peu, puis dégustez.

Selon l’endroit où vous vivez et la période de l’année où vous faites votre fête avant-partie, la météo peut varier considérablement. Lorsqu’il fait chaud, créez des oasis d’ombre à l’aide de tentes faciles à monter, de bouteilles d’eau à vaporiser et de ventilateurs portatifs ou à piles. Pour les périodes plus froides de l’année, apportez des couvertures et des vêtements chauds. Et, quelle que soit la température, fournissez suffisamment d’eau pour que tout le monde reste bien hydraté.

Pensez au confort de tous.

Même si la plupart des gens restent debout lors d’une fête d’avant-partie, prévoyez amplement de sièges pour que les gens puissent manger confortablement et se détendre. Parce que, pensez-y, personne n’a envie de demander à grand-maman de se lever pour prendre une boisson dans la glacière.

Est-ce que c’est vraiment une fête avant-match si l’on ne voit pas les couleurs de votre équipe préférée tout partout? Laissez libre cours à votre imagination : verres, assiettes, serviettes, ustensiles, nappes, banderoles, bannières, etc. Par exemple, suscitez l’enthousiasme avec du simple colorant alimentaire : créez un dessert aux couleurs de l’équipe. De petits gâteaux superposés en forme de ballon? Tout le monde y gagne.

Ajoutez une touche festive.

Pour offrir un bon choix de boissons (au-delà de celles qui sont proposées en canettes et en bouteilles), vous n’avez pas besoin de sortir la totalité de votre bar. Prémixez des boissons dans différents bocaux et ajoutez-les à la sélection d’autres boissons alcoolisées. Vous pouvez aussi le faire avec des cocktails sans alcool. Assurez-vous simplement de marquer clairement le contenu de chacun. Idée : brillez en créant un cocktail de marque. Donnez-lui le nom de la mascotte de l’équipe ou profitez-en pour vous moquer gentiment de l’équipe adverse.

Lorsque nous avons demandé à Jimmy Ho ses recommandations pour un bon repas sur le gril, la première chose qu’il a évoquée est la salubrité alimentaire. En plus de recommander le port de gants pour éviter la contamination croisée des aliments et d’apporter des objets qui permettent de conserver les aliments froids au frais et les aliments chauds au chaud, Jimmy recommande de se procurer un thermomètre à viande, et pas seulement pour des raisons de sécurité. « Pour le commun des mortels, il est important de se procurer un thermomètre à viande, tant pour des raisons de sécurité que de tendreté », explique-t-il. Les professionnels savent souvent quand la viande est cuite simplement par la sensation ou le toucher. Mais, si vous n’êtes pas encore un expert du gril, il est peu probable que vous sachiez d’emblée quoi observer pour déterminer si votre viande est cuite. Un thermomètre vous permet de vous assurer que votre viande a cuit suffisamment longtemps, mais qu’elle est aussi suffisamment tendre. »

Pensez sécurité et propreté.

Jimmy Ho recommande également de se donner amplement de temps pour préparer tous les éléments du repas. « Je pense souvent que je sais combien de temps il me faudra pour cuisiner quelque chose, mais ça finit toujours par prendre plus longtemps », partage-t-il.

Si vous êtes à l’extérieur, il vous encourage à apporter une source de courant électrique, comme une rallonge, une génératrice ou un convertisseur de courant, car « il y aura toujours au moins une personne qui devra recharger son téléphone ».

Même si vous êtes consciencieux et que vous utilisez des matériaux réutilisables, vous allez quand même générer des déchets. Plutôt que d’accrocher un sac de poubelle sur le côté de la table (qui finira inévitablement sur le sol, à la merci des insectes), apportez deux paniers à linge pliables, l’un pour les déchets et l’autre pour le recyclage, et placez un sac de poubelle dans chacun d’eux.

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